- SPEED

Five Stars Collection

 

Critique par NATHANAEL

 

INFOS TECHNIQUES DVD

APPRÉCIATION / ÉCOUTE / CRITIQUE

 

 

DVD Zone 1

 

Editeur Vidéo

      20 Th Century FOX

 

Réalisé par

     Jan De Bont

 

Chef Opérateur

     Andrzej Bartkowiak

 

"Sound Designers"

      Donald/Judie Flick

 

     

Taux de Transfert des Données Audio-Numériques

DTS

Dolby AC3

1509.75 Kbps

448 Kbps

 

 

 

Langues Disponibles

 

DTS 5.1 Anglais
DD 5.1 Anglais

 

 

Sous-titres

      disponibles

 

 

Format Image

     1.77:1 (Master Anamorphique)

 

 

Présence de logo DTS en ouverture?

     ??

 

Changement piste son à la volée

      OUI

 

 

Menus thématiques

      Animés et musicaux.

     

 

2 DVD 9

 

 

              FILM

 

 

En 1994, Jan de Bond sort tout juste de sa formation Hollywoodienne. Il a en effet fait ses gammes en tant que chef opérateur au côté de Mc Tiernan sur Piège de Cristal, et de Richard Donner sur l’Arme Fatale. Pour son premier film, le jeune et ambitieux réalisateur met tous les atouts de son côté. La recette du blockbuster, Jan de Bont la connaît, et va tout faire pour la réussir. Mais il va aussi y ajouter ces propres idées. Tout d’abord, il va se baser sur un scénario tonitruant: Jack, jeune recru de la police de LA, se fait malmené par Payne, un psychopathe avide de rançon.

Rien d’exceptionnel jusque là… Mais un an avant Die Hard 3, les scénaristes de Speed y ajoute un ingrédient succulent…  

 

Payne va lancer des défis à Jack… L.A. devient alors le théâtre de ce jeu du chat et de la souris. En guise d’entrée, c’est l’ascenseur d’un building rempli de ces travailleurs qui menace de s’écrouler de 50 étages. Plus tard, Payne nous sert comme dessert, un métro lancé à vive allure et incontrôlable. Le plat principal est quant à lui plus copieux. Ainsi nous passerons près d’une heure à bord du bus 6626. Alors que Jack lui court après, le conducteur passe la barre des 60 km/h, ou plutôt des célèbres 50 miles… S’il redescend en dessous, c’est l’explosion. Scène mémorable, sorte de huit clos à grande vitesse. Jan de Bond choisi alors un trio de choc pour mettre en images son projet. Keanu Reeves en flic de LA, apprenti héros et sauveur de ses citoyens Sandra Bullock, jolie bimbo conductrice de bus intérimaire Dennis Hooper, ex-flic et néo-méchant avide de rançon.

 

 

 

     - Sped, un nouveau genre

 

Une fois ces éléments réunis, Jan de Bond va y ajouter sa sauce : faire de Speed, un film de pure action, sans retenue, sans pause ni break. Deux heures non stop d’adrénaline, voila la recette…

Speed marque alors une rupture avec les grands films d’action du début des années 90. En effet, l’Arme Fatale ou les deux premiers Die Hard se veulent des films « réalistes » en tous cas ancrés dans une certaine réalité quotidienne. Les héros souffrent autant physiquement que moralement. Ainsi, leurs héros, John Mac Lane et Martin Riggs sont malmenés par leur femme et leurs remords…

Dans Speed il n’en est rien, et Jan de Bond réinvente le stéréotype du héros parfait. Jack semble indestructible et se lance tête baissée dans les actions les plus folles… Ici on ne réfléchi plus, on agit.

Speed nous délivre donc quelques unes des plus grandes cascades du film d’action. Le saut du bus par-dessus l’autoroute en construction marquera les esprits. De part son côté excessif, Speed devient purement jouissif…Ce plaisir tient aussi à la fabrication des effets spéciaux. Tout comme dans Twister (également signé Jan De Bont), on peut ici parler de cascades « faites mains ». L’expérience Mc Tiernan, lui-même adorateur des effets spéciaux à l’ancienne n’y est pas pour rien. Depuis, l’utilisation de l’informatique et de CGI (un des acteurs majeurs de la « Hollywood Valley », berceau des effets spéciaux actuels) a envahi nos écrans. Résultat, même si la dernière scène du métro laisse percevoir quelques lacunes (oh ! la jolie maquette), le rendu final sonne vraie, et donne à l’aspect visuel un côté terriblement réaliste.

 

      Trop, c’est trop

 

Si cet excès d’action est la marque de fabrique de Speed, il en devient aussi carrément bourrin, voir bourratif même. En effet, içi, tout semble carrément irréaliste.

Avant Speed, les héros pouvaient encore souffrir, mais là, le héros sort à peine égratigné de toutes ces péripéties…

Le résultat ne se veut pas crédible pour un sous. Le processus est là : faire le plus impressionnant possible, et donc simplifié jusqu’au trognon.

Dans le même esprit, Mark Mancina (complètement inconnu à l’époque) signe une musique certes excellente mais extrement répétitive. Le thème est ressorti à chaque morceau de bravoure du héros, donc quasiment tout le temps.

D’autre part, bien malgré lui, Speed a ouvert une nouvelle brèche dans le cinéma Hollywoodien. Le succès inattendu et énorme du film de Jan de Bont a entraîné une flopée de films caractérisés par l’héroïsme outrancier d’un homme bien ordinaire où l’action n’est pas toujours justifiée. Peu d’entre eux atteindront la qualité du précurseur.

15 ans plus tard, l’excellent Matrix fait le même effet de nouveauté et laisse derrière lui des The One et autres blockbusters ennuyeux. Premier film de Jan de Bont, il reste aussi son meilleur. Depuis, il nous a livré un pitoyable Hantise et un Speed 2 bien maussade. Seul Twister reste divertissant.

 

Speed nous délivre donc de magnifiques explosions, un montage nerveux, un thème musical mémorable, de l’humour, un trio d’acteurs bien campés, et un suspense haletant. Il permet de passer un très bon moment durant lequel notre cerveau peut se reposer. Bref, un des plus grand film d’action non-stop jamais sorti des studios d’Hollywood. En un mot: une référence.

 

 

 

                  IMAGE, SON

 

Fox, via sa collection de qualité, « Five Stars » a bien fait les choses, à l’instar des rééditions de la trilogie Die hard. Après la sortie du Zone 2 en Juin dernier, on était en droit d’attendre encore plus des qualités techniques surtout concernant les pistes sons.

  Le film, présenté dans son transfert original 2,35 :1 et certifié THX, fait une magnifique prestation. Même si la qualité vidéo n’atteint pas le niveau de certaines réalisations actuelles (Gladiator, Resident Evil), le travail de restauration est très satisfaisant surtout au vue des premières éditions sorties (Zone 1 comme zone 2). Ce procédé rend l’image chaude et douce mais manque parfois un peu de piquée et de contraste. Très peu de grain et aucun artéfacts à l’horizon, merci THX.

 

  C’est surtout le travail sur le son qui est impressionnant. Contrairement aux Die hard pas de pistes québécoises mais deux VO. Une piste Dolby Digital 5.1 mais surtout une piste DTS plein débit permet à ce type de film d’action de prendre toute son ampleur. Dès la séquence d’intro, c’est un déluge d’effets stéréophonique et ambiophoniques (d’avant en arrière). Des surrounds omniprésents tout au long du film et une bonne dynamique nous plonge au cœur de l’action. Un bon conseil : invitez vos voisins pour profiter pleinement du spectacle.

 

 

BONUS  (4,5/5) 

PRÉSENTATION

 

1 – Les menus

Exceptés les menus principaux, les sous-menus sont muets et fixes. Cependant, l’interactivité est bien conçue et la navigation bien qu’assez lente se fait assez facilement. Une bonne idée, un aperçu des bonus lorsque l’on passe dessus avant même de les sélectionner.

Sur le premier Dvd, une superbe intro pour arriver à un très beau menu principal, avec en prime une musique inédite dans le pur esprit speed.

 

2 – Packaging

Comme d’habitude avec les Five Stars, un gros coffret tout plastique et argenté. On préfère les digipack cartonnées avec fourreau ! De plus les sérigraphies sur les disques sont particulièrement laides.

 

l faut noter qu’aucun des bonus n’est sous-titrés anglais ni français. Non anglophones s’abstenir.

 

Disque 1

Deux commentaires audio complets.

Le premier est assuré par le seul Jan de Bont offre un commentaire technique et détaillé ce qui est étonnant vu le nombre d’années passées depuis le tournage du film (presque 20 ans). L’homme se fait timide au début et laisse place à plusieurs silences assez longs et gênants. Mais petit à petit, les souvenirs semblent remontés à la surface et se font passionnants.  Le magicien nous dévoile ces tours, et paraît s’étonner lui-même à revoir le résultat.

Intérêt             4/5

 

 

Un second commentaire très vivant est assuré par Graham Yost, scénariste, et Mark Gordon le producteur (récent producteur de Patriot et du Soldat Ryan). Les deux hommes ont fait de la route depuis et redécouvrent avec humour le fruit de leur collaboration passée. Certes moins technique que le commentaire du réalisateur, les anecdotes sont savoureuses et dévoilent la vie du plateau. Ils n’hésitent pas à chambrer les membres du casting et nous permettent de passer un bon moment. Leur entente est cordiale et bon enfant. Il forme d’ailleurs une paire incontournable à Hollywood, à l’origine de Rain Man ou encore de Brocken Arrow.

Intérêt              4/5

 

 

Ces commentaires assez légers nous pousse à remettre le film en 5.1 pour profiter du spectacle dont on nous parle !

A noter que le changement de pistes peut se faire à la volée, mais l’absence de sous titres (même anglais) en rebuteras plus d’un… Dommage.

 

 

 

THX Optimizer

Pour régler votre chez-vous. Assez utile mais les indications sont en anglais donc pas faciles d’accès. Préférez les zone 2 (Star Wars, Les rivières pourpres) ou vous trouverez ce même bonus mais en français.

   

 

 

 Disque 2

1 ere partie            « Action Sequences »

 

                        1 & 2 – The Bus Jump (durée : 9m 30) & The Metrorail Crash (9m 17)

 

Deux making-of assez classiques mais très intéressants pour les deux plus grosses scènes d’action du film. On assiste à la préparation des cascade avec à la manœuvre le coordinateur entouré de son équipe. L’envers du décor.  On comprend mieux l’ensemble des procédures de sécurité entourant une telle scène et tout le travail de préparation (autant matériel qu’humain) nécessaire à de telles cascades. On peut aussi admirer le travail de Jan De Bont en tant que cadreur ! Présenté en 16/9 non anamorphique et stéréo.

Intérêt 3,5/5

 

                        3 – Multi-stream storyboards

 

Quatre séquences (Bomb on the bus, bus jump, metrorail fight and crash) sont visionables sous deux angles, soit en mode storyboard complet soit un écran partagé en deux avec le storyboard d’un côté et le résultat de l’autre. Encore une fois, on se rend mieux compte de l’importance de cette partie de la préparation du film.

La dernière séquence (Baker sequence) est un unique storyboard d’une scène d’action jamais tourné sans doute pour des raisons de budgets ou de difficultés techniques puisqu’elle retranscrit une tentative de sauvetage périlleuse des passagers du bus à l’aide d’un hélicoptère !. En effet celle-ci est très ambitieuse et laisse rêver à ce qu’aurait pu être le résultat. Il faudra se contenter de ce SB mais c’est déjà une des premières jolie surprise fourni dans ces bonus. De plus, ce document nous est présenté soit avec un commentaire audio de Jan De Bont soit avec la musique seule.

La présentation est bien conçue puisque le storyboard défile au rythme de l’action filmée.

Intérêt 4/5

 

 

                        4 – Multi-angle stunt

 

Le meilleur pour la fin, trois séquences sont ici dévoilées sous 8 angles possibles et dans un ultime mode avec tous les angles à l’écran.

 -  le crash du métro

 -  le saut du bus

 -  l’explosion du jet

Soit les trois plus grosses d’action du film a redécouvrir sous toutes les coutures. Les fans de la zappette seront aux anges ! Une dernière scène, l’affrontement entre Jack et Payne est présenté sous trois angles… seulement !

On peut donc faire notre propre montage même si l’exercice est un peu fastidieux. Ca ressemble assez à un jeu vidéo, mais il est jouissif d’être à la tête de la réalisation de telles scènes d’anthologie du film d’action. Le changement d’angle est assez lent ce qui ne nous permet pas de prendre un super pied. Résultat, c’est la version composée de tous les angles dans la séquence de combat sur le toit du métro (Jack vs Payne) qui est la plus agréable à visionner. Quant au format 8 angles sur un seul panneau il est reservé à nos amis qui ont des grandes télés mais surtout des écrans de projection. Dernier détail, le nombre de « fps » (frames par seconde) est indiqué pour chaque angle. À noté, que plus ce chiffre est élevé plus la scène est ralentie, puisqu’il s’agit en fait du débit vidéo. (40 fps correspond à un débit normal).

   

 

            2eme partie – inside speed

 

                        1 – On location (7m15)

Littéralement « sur place », ce court reportage aborde l’aspect logistique de speed. Location de bus (pas moins de 12 !), repérage de l’autoroute en construction…

 

                        2 – Stunts (12m)

Le préparatif des cascades. Comme toujours ce type de document enlève un peu de magie après re-visionnage des scènes dans le film.

 

Même si ces deux premiers reportages sont intéressants, on a l’impression d’assister à un fourre tout assez particulier. On alterne les interviews et les extraits documentaires. A noter, un montage assez nerveux dans l’esprit du film qui relève l’intérêt des ces documentaires.

 

                        3 – Visual Effects (9m15)

Niveau de qualité bien plus élevé pour ce troisième qui aurait mériter d’être un peu plus long. Le travail « à l’ancienne » nous est ici décortiqué (raccord entre les plans réels et maquette…), et a parfois l’impression d’assister à un « bricolage » de génies !

 

                        4 – Original screenplay (par Graham Yost)

Pour anglophones uniquement ! Réservé aux fans du film et aux scénaristes en herbe. On possède ici un modèle de construction et de rigueur étalé sur 267 écrans !

 

                        5 – Productions notes (par Jack De Govia)

Sur la même présentation que le scénario, on peut içi découvrir tous les moyens mis en œuvre pour le tournage avec des plans, des croquis, et quelques photos du résultat.

 

Au vu de ces différentes featurettes, on peut se demander pourquoi de pas avoir ajouter une version unique, un reportage de 25 minutes qui aurait évité des répétitions et gagné en ergonomie.

 

3 eme partie – Interviews

 

Visionables soit en entier, soit découpés en partitions (à propos du film, de votre personnage…), les interviews ne sont pas sous-titrées.

 

Keanu Reeves (5m51)

Jeff Daniels (6m50)

Sandra Bullock (9m27)

Dennis Hopper (4m41)

Jan de Bont (4m22)

 

Au final, elles n’apportent rien d’intéressants. En effet, elles ont été tournées en 1995, donc se prêtent avant tout à un aspect très promotionnel. Résultat, des banalités en pagaille, et l’habituelle rengaine qui présente le cinéma ricain comme une grande famille d’amis, bla bla bla…

 

 

 

 

 

            4 eme partie – Extended Scenes

 

-  Jack shoot Payne (42s) : lorsque que Jack tire sur son collègue au début du film et pourquoi il ne tire pas sur Payne…

 

-  Payne lives (4m45) : La remise de médaille dans son intégralité, et la fête entre policier qui s’en suit.

 

-  Annie’s job (1m10) : Pourquoi l’avoir retirée ? ? Cette séquence insiste sur le travail d’Annie et aurait pu étoffer le personnage assez creux de Sandra Bullock.

 

-  Helen died (3m08) : Une réaction plus longue des passagers après la mort de l’un des leurs.

 

-  Ray’s crime (1m06) : Pourquoi Ray, jeune passager du bus a pointé son arme sur Jack.

 

 

Ces scènes présentes dans le montage classique du film, nous sont içi exposées dans un montage plus long. Difficile de voir les rajouts (parfois de quelques secondes) pour les novices.

Visionables toutes d’une traite ou bien séparément. Toutes les scènes sont accompagnées de courts textes mais on regrette l’absence de commentaire audio. Présenté en 4/3.

 

 

 

            5 eme partie – Images Gallery

 

Pas moins de 17 galeries différentes organisées par thèmes! Un nombre incalculable de clichés qui comblera les fans et permettra aux possesseurs d’un pc de réaliser des impressions de haute qualité. De plus au format 16/9.

 

 

 

            6eme partie – Promotion

   

1 – Trailers & Spots

La bande annonce ciné et les différents (11 en tout) spots télé. Un modèle pour les films d’action. très innovant à l’époque, toujours aussi efficace. La bande-annonce cinéma est présentée en 16/9 et les spots sont 4/3, quant au son c’est du stéréo (dommage, un 5.1 aurait été sympa).

 

             

2 – HBO (making of speed)

Un reportage présenté par Dennis Hopper himself avec humour et classe. Malheureux 4/3….

D’un intérêt assez limité étant donné que l’on retrouve beaucoup des éléments dans les autres sections.

 

                        

3 – Clip Billy Idol

Après Dennis Hopper, c’est Billy Idol qui prête sa voix pour les besoins du film. Pas un grand succès musical et ce clip n’apporte rien.

 

                       

4 – Press Kit (Dossier de Presse)

Que du texte pour ce document à l’origine sur papier et réservé à la presse. On y retrouve tout le casting et quelques informations sur le tournage.

 

Bonus Cachés

Depuis le menu principal du dvd n° 2, allez sur « action sequences » et allez sur la droite. L’icône du bus doit apparaître, il ne vous reste plus qu’à cliquer dessus. Il s’agit de la version « soft » (censurée) de l’explosion de l’avion.

 

 

 

 

 

CONCLUSION

 

Techniquement parfait, Speed est la nouvelle référence dans le prestigieux catalogue Five Stars. Un film fun et des tas de bonus font de ce coffret un achat indispensable.

 

 

COMPARATIF AVEC ZONE 2 EDITION SPÉCIALE            

 

Côté technique, l’image du zone 2 est légèrement supérieur, bénéficiant du format Pal, avec une définition logiquement meilleure. Pour le son, c’est clairement l’inverse avec une piste VF DTS sur le zone 2 très plate et manquant d’effets. C’était la piste VO Dolby 5.1 qui s’en tirait la mieux. Cette dernière est dépassée par la piste DTS du zone 1. Plus d’effets, plus d’impacts…

Amateur de VO, foncez sur l’édition Five Stars, amateur de VF… changez d’avis !

 

Côté bonus, le contenu est identique mais parfois sous-titré sur le zone 2, alors qu’aucun sous titres n’en présent sur le zone 1

 

Enfin, on notera une large victoire pour le Zone 2 au niveau du packaging bien plus classieux , quoique plus fragile pour le transport (mais une belle édition comme ca, ca reste à la maison! ).

 

 

 

Ne manquez pas de lire nos mesures et autres données pour ce DVD: Données techniques.

 

 

 

 

ÉQUILIBRE SONORE  /20

PRÉSENCE

 /20
DYNAMIQUE                          /20
FIDÉLITÉ / NATUREL                     /20
REPRODUCTION MUSIQUE    /20
ACTIVITÉ SURROUND       /20
NIVEAU L.F.E                /20  (Difficilement mesurable mais bel et bien présent)
DÉFINITION SPATIALE                     /20
Note Globale        /20 (environ)
DIFFÉRENCES DD VS DTS= 

A noter que les notes ci-dessus tiennent compte à la fois du mixage artistique et des résultats techniques.

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