logo
11111111111



Commander ce DVD chez notre partenaire, CINEBOX.NET
CE TEST DVD EST SPONSORISE PAR NOTRE PARTENAIRE DVD ZONE 1, cinebox.net

 

 

 


titre du film

DIAPASON Anglais 5.1 (Mi Débit)
DIAPASON Anglais (448 Kbps)
DIAPASON Français (192 Kbps)
Normalisation des Dialogues... -4 dB
DIAPASON DIAPASON CinémaScope

Zone: 1
Editeur:
Fox
Sous-Titres:
Anglais, Espagnols
Bitrate:
6.54 Mbps
Durée: 135 minutes
Boîtier
: Amarray
Disponibilité DVD: mars 2006

© Copyright. Twentieth Century Fox

NOTEZ LE FILM:

NOTEZ LA PISTE DTS:

COMMENTAIRES:

WALK THE LINE (2005)

 

Réalisé par: James Mangold
Avec: Joaquin Phoenix, Reese Witherspoon, Shelby Lynne
Compositeur: T. Bone Burnett
Directeur de la photographie: Phedon Papamichael

En retraçant le destin du chanteur country-rock Johnny Cash, Walk the line évoque la naissance d'un nouveau style d'artiste, celle d'un homme qui au-delà de ses colères, des ravages de la dépendance et des tentations du statut de star, a tout dépassé pour devenir une icône.
C'est aussi le parcours d'un homme qui, du fond de la période la plus noire de sa vie, a été porté par une histoire d'amour fusionnelle avec June Carter. Leur passion a nourri son art tout au long de sa vie.
Cette saga est marquée par les thèmes qui feront la force de la musique de Cash et de son style minimaliste : la mort, l'amour, la trahison, le péché, l'espoir et la foi.

 

DOSSIER DE PRESSE

Johnny Cash et June Carter avaient respectivement choisi les comédiens Joaquin Phoenix et Reese Witherspoon pour les incarner à l'écran. Malheureusement, ils ne purent voir le résultat final. Le chanteur-guitariste décéda en effet le 12 septembre 2003 à la suite de complications dues au diabète, tandis que sa compagne trouva la mort le 15 mai de la même année à cause de problèmes cardiaques.

Joaquin Phoenix et Reese Witherspoon ont interprété eux-mêmes les chansons du film. Le comédien, qui prête ses traits à Johnny Cash, a d'ailleurs appris à jouer de la guitare pour ce rôle. Pour cela, les deux acteurs ont subi un "camp d'entraînement intensif au rock'n roll" qui incluait des leçons de musique, des temps individuels d'exercice et de répétition, des temps de travail en groupe avec orchestre, et des sessions d'enregistrement. Le réalisateur explique:"Les acteurs qui n'étaient pas musiciens le sont devenus, et les musiciens sont devenus des acteurs, chacun ayant l'avantage d'être soutenu et encouragé par les autres".

Le réalisateur a fait appel au producteur de musique T-Bone Burnett pour la bande originale de son film. Ce dernier est né à Saint Louis, Missouri, berceau du blues et du rock. Lauréat d'un Grammy et nominé aux Oscars, T-Bone Burnett est notamment un spécialiste de la country qui a travaillé avec Ethan Coen sur O'Brother et The Big Lebowski, ou encore des films comme Retour à Cold Mountain et Don't come knocking.


CRITIQUE

Avec son interprétation d'une finesse et d'une précision immanquables, Walk the Line s'octroie des qualités supérieures et fait disparaître des artefacts de mise en scène et de dramaturgie qui pesaient sur le devenir d'un film miroir, Ray, signé Taylor Hackford. Ici, le cinéaste investit l'âme et el corps d'un personnage pour mieux encore cerner l'amplitude de sa musique, et confie à sa dimension légendaire une valeur simple mais intègre. Fort d'une mise en scène souvent éblouissante de vérité et d'observation, Walk the Line constitue un immanquable grand film, profondément intègre. Un spectacle intime et mythique, forgé autour d'un bloc d'histoire qui demeure la pierre d'achoppement du cinéaste. Ou comment faire naître une légende à l'écran.

 

Télérama: Aurélien Ferenczi: "On quitte le film en brûlant de (re)découvrir l'entière discographie de Johnny Cash, le " man in black " mort il y a deux ans, et de June Carter Cash, qui l'avait précédé de quelques mois dans la tombe."

Rolling Stone: Olivier Granoux: "(...) Mangold propose plus de deux heures de film intenses, autour de l'une des plus fortes histoires d'amour de la musique américaine (...)"


Retour à la liste des tests...

L'image

Un report vidéo de toute beauté qui offre une qualité d'image optimale, restituant toutes les nuances chromatiques et optiques du format CinémaScope. Du premier au dernier plan, l'image demeure nette et piquée et fait exploser une gamme colorimétrique d'une richesse réaliste et intense. La fluidité n'est aucunement à prendre à défaut, tant est si bien que l'on se demandera ce que pourrait bien apporter un pressage Haute Définition de ce titre. La lecture visuelle des diverses époques se voit restituée avec une formidable intégrité et densité, au coeur de chaque plan. Les lumières, savantes, oscillent de l'intimité d'un foyer modeste aux rutilantes scènes de concert, se voient préservées avec la finesse argentique découverte au cinéma. L'encodage se voit ainsi optimal et patent, d'autant qu'aucuns défauts ne sont à remarquer. Une remarquable présentation, riche en nuances et en textures, sans doute l'une des plus belles vues en zone 1 en ce début 2006.

Le son

Assez sage dans son ensemble, et peu porté vers uneutilisation soutenue de la scène arrière (même pas dans sa dimension panoramique), la bande-son de Walk the Line affiche néanmoinsune clarté acoustique souverraine, tout en déployant lors des phases musicales un tempérament dynamique et une couleur sonore capable de briller de mille éclats. En effet, la réalisme se lit avant tout dans la limpidité de la voie centrale, qui diffuse l'essentiel des informations sonores et acoustiques du film. En captant l'essence de la musique de Cash, celle-ci la restitue avec tout son impact psychologique, assistée par deux voies frontales parallèles qui oeuvrent à déployer des masses sonores discètres mais conséquentes au coeur d'une stéréophonie orchestrée avec une précision saisissante. Ainsi donc, l'essentiel de l'axe maintenu lors du mixage du film se tourne vers la musique de Johny Cash, principalement monophonique et anti-spectaculaire. La dynamique du mixage se voit rehaussée par une gestion du volume global très sobre. Les articulations acoustiquies sont aisément perceptibles, en phase avec le réalisme très terre à terre de cette bande-son. Forte de qualités de timbre et d'articulation évidentes, cette bande-son très discrète ne manquera aucunement d'impressionner lorsque se déchaîneront les décibels furieux de Jerry Lee Lewis ou de Cash, dans la seconde partie de son évocation. En effet, une brutale remontée de la dynamique est observable, ainsi qu'une tenue et une fermeté globale qui font sincèrement plaisir à entendre et qui élargissent l'espace acoustique du film au point de devenir une mise en scène, certes toujours peu ouverte sur la scène arrière, mais disposant de suffisament de volonté de convaincre et d'intégrité toute musicale pour convaincre et même époustoufler. En maintenant un pouvoir d'évocation sonore intact de bout en bout lors des scènes de concert, la bande-son se pose en exemple parfait de tenue en puissance et de précision dans l'évocation. Celle-ci s'affine et affiche un tempérament physiologique plus net et davantage marqué, tout en concentrant ses efforts sur chaque articulation, sur chaque micro-palette de l'intérprétation. D'une certaine manière, ces effets de mixage purs mettent en lumière le tavail minutieux de Joachin Pheonix et Reese Witherspoon. Nul doute possible: cette bande-son, nommée à l'Oscar du Meilleur Son, mérite amplement ses lettres de noblesse. Capable d'épaississement vocaux ou musico-texturels, elle se pose comme la forme essentielle de fidélité requise pour restituer l'ame du et des sons de Cash. En dépit d'une dimension multicanale fortement timorrée, cette bande-son bénéficie d'un fort pouvoir de recouvrement et parvient, avec seulement trois canaux en activité, à susciter des émotions musicales et à dépeindre différentes époques et lieux, tout en faisant partie intégrante de la mise en scène. Le caisson de graves tonifie les représentations scéniques en décuplant les attaques des percussions et en dessinant l'impact graduel du son. Son rôle, ooin de toute spectacularisation, est comparable à celui d'un instrument de musique d'arrière-plan. Une générosité acoustique réelle s'empare donc de ces moments de scène, avec une largeur et une dimension frontale fort bienvenue (sorte de triphonie gérée et orchestrée en multicanaux à dimension cinématographique) et tout à fait réaliste.

La piste DTS proposée sur cette édition DVD parvient à maintenir la qualité de la bande-son de l'alpha à l'oméga. Contrairement à ses habitudes, Fox livre cette fois-ci une piste DTS flambante et complètement convaincante, qui propose un degré de fermeté et de maintien indéniable, parant ainsi les écrasements du son constatés en Dolby Digital. Qu'il s'agisse des basses fréquences, tonifiées et intégrées avec un grand soin, ou l'autre extrême du spectre, la piste DTS met en lumière la vivacité et la fraîcheur des matériaux sources, jsque dans les détails infra-musicaux et l'Hyper Foley de la voie centrale. Une distance nette et franche avec la piste Dolby Digital, même une fois compensée l'abominable normalisation des dialogues. Le sentiment d'une acoustique tempérée et matte, constatée en Dolby Digital, est littéralement gommée par la volonté incisive et le tempérament accrocheur du format DTS qui revivifie l'acoustique de l'intégralité de la scène et des plans sonores, et affiche une netteté et une clarté que l'on devine aisément partie intégrante du master initial. La piste Dolby Surround Française, bein que très limitée en fréquence, demeure convaincante lors de certains passages.

 

 

L'interactivité

Commentaires audio

Scènes coupées et Scènes supplémentaires (11:22 minutes, 19/9 et Dolby Digital 5.1), commentées par le cinéaste ou audibles en l'état.

Une superbe bande-annonce (4/3 et Dolby Digital 2.0...) pour le film, et une autre promotionnelle destinée à doper les chiffres de vente de la bande-originale.

 

 

Note Image

Note DTS

Note DD

Note DD

Note Interactivié

Note Image

Note DTS

Note DD

Note mix artistique

interactivite


Note Globale

Note Globale


Note Globale
Ce test DVD est sponsorisé par notre partenaire DVD zone 1, Cinebox.net

logo criticfinder

 


© 2003 - Revolusound.com
. Tous les logos et diagrammes qui apparaissent sur ce site sont la propriété
unique et exclusive des marques / sociétés citées. Leur présence sur ce site n'est qu'illustrative, et n'est soumise
à aucune forme de contrat. Pour toute donnée supplémentaire sur DTS, merci de consulter
le site officiel: www.dtsonline.com.