![]() ![]() ![]() |
![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
![]() |
|||
|
PLATINE BLU-RAY SAMSUNG BDP-1500
Depuis l’annonce de la mort du format HD-DVD et de tout support le concernant, le camp adverse a multiplié les annonces pour développer encore un peu plus l’ampleur du phénomène de la bataille du laser bleu. En ce sens, le géant Coréen Samsung s’est inscrit dans une ligne de continuité et de progression pour ce qui est du matériel hardware. Après avoir proposé l’une des premières platines Blu-ray disponible, la BDP-1000, le géant a su concentrer ses efforts et capitaliser ses forces. Ce dernier modèle que nous testons aujourd’hui, le BDP-1500, se pose comme le dernier rejeton d’une longue lignée, qui a commencé avec le BDP-1000, auquel a succédé le BDP-1200, puis le BDP-1400, premier lecteurt historique tout constructeur confondu à autoriser le transit en Bitstream des flux audio HD nouvelle génération (HBR). Ainsi donc, le format DTS-HD Master Audio pouvait être aiguillé intelligemment vers des amplificateurs à même de le comprendre et, in fine, de le décoder en préservant tous ses nombreux avantages. Si Samsung a récemment fait couler beaucoup d’encre quant à la disparition progressive du format Blu-ray, estimée, au jour d’aujourd’hui, à 5 ans, force est de reconnaître les efforts réguliers du constructeur à renouveler le marché et à y apporter son lot de nouveautés éclairées et salutaires. Dans une interview, Andy Griffiths, directeur de la division électronique grand public UK de Samsung a avoué qu'il pensait que le format Blu-ray n'avait en effet pas plus de 5 ans à vivre. Si l'on pouvait considérer que les déclarations similaires de Toshiba étaient liées à sa perte de la bataille du laser bleu, Samsung est un membre à part entière du clan supportant le Blu-ray ce qui donne beaucoup plus de poids à cette opinion. Seul l’avenir nous dira si les prédictions alarmantes de Griffiths auront force de loi. Dans l’immédiat, le groupe Samsung fournit régulièrement des solutions adaptées au marché et qui plus est, qui innovent d’une génération à l’autre. Cette platine dernièrement née et dors et déjà disponible représente une forme de quintessence et condense divers éléments novateurs dont certains inédits, sur lesquels nous reviendrons au cours de ce test.
UN DESIGN "BLACK GLOSS" SOIGNE
Au moment toujours très poétique de l’ouverture du carton succède le temps des premières découvertes. Le lecteur est d’apparence mince, bien plus mince et compact que son prédécesseur, le BDP-1400, qui équipe toute la rédaction. A l’heure actuelle, il s’agit du lecteur Blu-Ray le plus compact et le plus sobre sur le marché. Bien plus inspiré que ses concurrents (notamment Panasonic), Samsung propose là un bloc fait de compacité et de discrétion. Ses lignes sont sobres et élégantes, peu élancées. La finesse se lit jusque dans la finition « Black Gloss » exclusive à Samsung de la façade avant. Quoiqu’un peu plastique, elle permet au lecteur de se fondre dans votre équipement de manière élégante et discrète.
Outre un petit paddle multidirectionnel redesigné par rapport au BDP-1400, rien ne transparaît sur la façade avant de la platine. Le témoin de fonctionnement opte pour une diode bleue de circonstance, et à l’allumage, une fois l’appareil installé, un léger et court jingle façon sonnerie de réception de SMS accueille le spectateur tandis qu’à l’écran apparaît le logo Samsung Blu-Ray qui n’a, lui non plus, subi aucune modification par rapport au modèle précédent. L’afficheur en façade demeure discret, lisible et plaisant, à l’image d’un éclairage OLED lui aussi bleuté, en dot-line. Il se veut plus précis que ceux de la concurrence et dépasse sans mal celui de son prédécesseur. Un regard à l'arrière de la platine et les premiers commentaires négatifs se mettent en branle. En effet, contrairement au modèle précédent, le BDP-1500 ne dispose pas d’une connexion audio-numérique coaxiale. Rien de grave au demeurant, mais les possibilités de raccordement se rendent donc quelque peu problématiques pour certains utilisateurs. Seul une prise numérique optique est présente, Samsung ayant vraisemblablement optimisé la liaison HDMI 1.3 qui de toute façon a force de loi dans le monde de la HD, image et son. Exit également les prises de sorties externes 5.1 qui permettaient, sur le BDP-1400, de raccorder la platine aux borniers de votre amplificateur évolutif, et de profiter ainsi d’un son PCM 5.1 en liaison analogique. Une simplification que nous ne nous expliquons pas, d’autant que la platine avait été annoncée comme à même de décoder en interne le format DTS-HD High Resolution et de le transmettre via ces liaisons 5.1. Au grand final, l’opération se montre tout bonnement impossible, la faute en incombe à l’absence de liaisons ad hoc. Pour le reste, la platine se positionne dans les normes avec une seule sortie HDMI 1.3, et des connecteurs vidéo analogiques pour ceux qui souhaiteraient tout de même les exploiter… Le port USB d’extension mémorielle est lui aussi placé à l’arrière central de l’appareil. Une connectique qui, a défaut d’être soignée et complète, représente une forme de minimum syndical de la part du géant sud-Coréen, surtout si l’on prend en considération la complétude et l’étendue qu’offrait le modèle précédent, avec une double connectique audio-numérique et des borniers 5.1 externes…
La télécommande livrée se montrera elle aussi identique au modèle 1400, à une touche près (celle de la fonction Bonus View pour le profile 1.1). Certes un peu grande et trop élancée, elle se révèle, en utilisation, suffisamment fonctionnelle, mais ne possède aucune qualité supplémentaire. Les touches de son paddle sont convenablement positionnées et au toucher, il s’agit ni plus ni moins de plastique condensé, peut-être peu sujet au vieillissement. Quatre zones sont identifiables, et les zones spécifiques à l’utilisation Blu-Ray sont regroupées vers le bas, assez difficile d’accès toutefois une fois en main. Au grand final, il s’agit ni plus ni moins de la télécommande spécifique à Samsung (modèle 00070B) déclinée à la mode Blu-Ray. A signaler qu’une fois programmée très simplement, elle pourra piloter des fonctions basiques de votre téléviseur (volume, zapping, coupure son, input select).
DANS LES ENTRAILLES La navigation dans les menus de l’appareil se fait de manière fluide. Peu de nouveauté à signaler aux habitués de la gamme antérieure, mais l’on note la disparition du mode « Photo », même si la platine est capable de JPEG HD une fois les fichiers gravés sur un disque et diffusés sur la platine. Du reste, le menu « Paramètres » permet une configuration affinée de tous les réglages dont est capable le BDP-1500. A noter sur ce point, l’apparition du mode audio « Bitstream Audiophile », qui permet de tirer profit des capacités HDMI 1.3 et de véhiculer les flux audio HD sans décodage en interne par la platine. Ainsi, les flux DTS-HD Master Audio et High Resolution transitent via la sortie HDMI jusqu’à l’amplificateur nouvelle génération. Le mode précédent, bitstream, permet à la platine de convertir les flux en PCM 5.1 à l’image de ce qu’offre une Playstation 3. Pour le reste, les habituels paramètres de la sortie vidéo HDMI sont de la partie, comme l’activation du mode 24p, que votre diffuseur vidéo devra supporter sous peine d’avoir un avertissement suite au mode test de la platine, et enfin le paramétrage fin de la sortie vidéo : 1080i ou 1080p etc etc. Aucune fonction vidéo annexe n’est pourvue, aucun mode de diffusion ‘movie, video’ etc n’est possible, contrairement à certaines platines de la concurrence. Les réglages sont immédiats et ne nécessitent généralement aucun redémarrage de l’appareil. On louera la navigation simple et intuitive, ainsi que la traduction française assez bien intégrée, qui ne devrait pas heurter le néophyte.
Il sera même possible (Profile BD Java 2.0 oblige) de paramétrer l’heure de la platine, ainsi que tous les réglages des DNS ou de l’adresse IP afin de tirer profit de la connectivité réseau dont est capable le BDP-1500. Ceux-ci sont identiques à ceux rencontrés sur le BDP-1400, mais cette platine ajoute une gestion du support de stockage, qui peut s’effectuer dans la mémoire interne du lecteur ou bien sur une clé USB externe, puisqu’il est possible, afin de profiter du potentiel du profile 2.0, d’augmenter et d’étendre la capacité mémorielle à l’aide d’un périphérique de stockage externe. Ce port USB ne servira d’ailleurs à rien d‘autre qu’à la mise à jour de la platine ou à son extension de mémoire. Nos essais de lecture de fichiers photo ou son se sont avérés infructueux. Ces mises à jour du firmware (micro logiciel interne pour reprendre l’appellation traduite de Samsung) se voient ainsi possible de trois manières différentes : en mode USB stockage externe, via le port Ethernet (que nous conseillons chaudement, prévoir 20-30 minutes de traitement), ou plus simplement en gravant un fichier image sur un CD-R. Samsung fournit gracieusement des mises à jour régulières et importantes de ses appareils, améliorant ainsi la lecture de certains titres ou optimisant les décodages vidéo de l’appareil (fluidité des rendus vidéo, améliorations des décodages...). Celles-ci ont lieu tous les deux à trois mois en moyenne, et l’on ne s’en plaindra pas, loin de là. Une vérification de nouveau firmware en mode Ethernet s’effectuera en moins de trois secondes, suite à quoi le téléchargement réseau démarrera. Une fois confirmée l’installation, le processus s’accomplit de lui-même et la platine redémarre. Le constructeur fournit un module d’autodiagnostic permettant de savoir sur quel firmware l’appareil tourne en temps réel. Des fonctionnalités savamment intégrées et nécessaires, dont Samsung peut être fier. Fiable et efficace, la platine se montre complète et saura résister aux sempiternelles évolutions du monde de la vidéo à l'ère du numérique.
PROFILE 1.1 et "2.0 READY" Dépassé le temps de du profile 1.0, baptisé « Grace Period Profile ». Cette platine de quatrième génération chez le constructeur opte pour une part résolument plus moderne de la vidéo numérique, et s’octroie le confort du profil Java 1.1, labellisé Bonus View sur le marché de grande consommation. Cette option qui tend à se répandre chez tous les constructeurs ajoute la présence d’un deuxième décodeur vidéo, permettant de profiter d’une double diffusion vidéo sur les titres (de plus en plus nombreux) Blu-Ray qui offrent des suppléments vidéo en, Picture In Picture (Pip). La platine réagit au quart de tour, et aucun ralentissement ne s’est fait constater sur nos disques de test (Batman Begins en zone A, Rambo en zone A, Alien VS Predator 2 en zone B etc…). Selon la programmation effectuée sur la galette, le fenêtrage se montrera plus ou moins significatif en bas de l’écran, sa qualité n’étant pas imputable à la platine elle-même. Certes attrayant, cette présentation alternative de certains suppléments des disques Blu-Ray se révèle astucieuse, mais peut bien vite devenir brouillon : le film y est diffusé avec sa bande-son en mode sourdine, plus une autre fenêtre vidéo en bas d’écran plus le commentaire audio du cinéaste tout ceci en simultané. On appréciera tout de même le confort d’un mode de diffusion finalement inédit mais paré de quelques soucis que nous nous proposons de détailler. Il vous faudra e effet reparamétrer la sortie son numérique en PCM avant de pouvoir apprécier les vertus du profile 1.1, sous peine de ne pas pouvoir entendre la piste son des suppléments. Une obligation due à la non inclusion d’une double décodeur audio comme celui que propose DTS . Baptisé ‘DTS Express’, il autorise la gestion du volume des deux sources diffusées simultanément, afin d’ajuster le rendu et de favoriser un flux d’information. Or ici, en l’absence d’une telle option sur le BDP-1500, on se retrouve avec le son du film diffusé à volume important, tandis que le son du supplément est placé trop bas pour être audible et intelligible. Ce fut notamment le cas sur Batman Begins, où les commentaires des acteurs se sont montrés tout bonnement inaudibles, réduisant immédiatement à néant l’intérêt de la fonction Bonus View… Ni l’éditeur ni le constructeur n’ont en effet pu contrecarrer les difficultés de diffusion inhérentes à la fonction Bonus View. Aucun souci en revanche sur Rambo, où le seul commentaire du cinéaste-acteur était audible. Ce titre a néanmoins généré un important bug sur cette platine, nécessitant un redémarrage, que nous avons pu résoudre par une mise à jour du firmware, heureusement rendue possible très aisément par le constructeur. Pour ce qui est de la fonction BD Profile 2.0 (connectivité réseau, baptisée ‘BD-Live’) permettant de récupérer des éléments en téléchargement ou en streaming sur un réseau internet domestique, le constructeur annonce qu’une mise à jour importante du firmware sera nécessaire. Celle-ci est prévue pour courant octobre 2008. En ce sens, le lecteur ne peut être considéré comme profilé 2.0, mais se veut ‘2.0 ready’. L’adjonction d’une clé USB externe sera la bienvenue. Elle sera tout bonnement nécessaire, la platine ne disposant pas du Giga de stockage en interne nécessaire pour l’exploiter officiellement. Il conviendra donc de prévoir l’achat d’une clé USB d’une capacité d’au moins un Go afin de l’exploiter. Nous n'avons pu intégrer cette fonctionnalité au cours de notre période de test.
MISE EN OEUVRE Nous avons pu tester sur le terrain, de manière extensive, l'essentiel des fonctionnalités de cette platine de quatrième génération.
Une navigation enfin optimisée La première qualité qu'il importe de souligner n'est aucunement anecdotique. Il s'agit de la facilité de navigation et de la rapidité de l'ensemble. Le modèle 1400 était réputé pour sa lenteur et ses temps de latence excessifs, dus à la présence très relative de mémoire RAM intégrée. Ici, il ne s'agit plus que de très mauvais souvenirs. La platine réagit au quart de tour et propose totale réexploitation de la vitesse. Lors du chargement des disques Blu-ray par exemple : les titres d’ordinaire les plus lents au démarrage se voient ici accélérés de manière radicale. Ainsi, les titres chargés en Java récupèrent-ils un temps de chargement tout à fait acceptable, voire même très rapide. Les titres moins gourmands en ressources et aux TOCs plus légères démarrent en tout juste quelques secondes. Navigation dans les menu, accès aux fonctions, changements ou chargements divers, tout devient objectivement plus rapide donc plus fonctionnel, dans la lignée de ce qu’offre la Playstation 3 en termes de confort. Tout ceci est du à l’implémentation de mémoire et de capaciteurs nettement plus véloces, et enfin convaincants. On notera toutefois, en utlisation précise (avance rapide, sauts de chapitres), quelques latences. Un temps d’accès aux fonctions d’accélérations relativement lent, identique aux modèles précédents, mais rien de traumatisant au demeurant. Quoi qu'il en soit, le micro-logiciel dela platine se montre à son avantage, et travaille avec ardeur, surtout lorsqu'il s'agit de gérer en temps réel le poids parfois très conséquent des applications Java. La navigation demeure fluide et efficace, pour une réactivité sans cesse optimisée. On regrettera quelques absences d’information quant au mode de compression vidéo employé (seule la PS3 offre cette fonctionnalité certes annexe mais au final bien utile), et un OSD sommaire mais suffisamment clair, qui aurait mérité davantage de possibilités.
L'upscale DVD est confié aux bons soins de la puce Sigma SMP8634 REV C (identique à celle du BDP-1400). Rien de bien notable à signaler, bien que certains utilisateurs aient été très agréablement surpris par les performances proposées. L’image DVD mise en l’échelle par le circuit de désentrelacement se montre fidèle à la source, mais délivre une image assez typée, à laquelle manque éclat et matière. Relativement plate et douce, l’image ne marque pas par sa densité. D’un titre DVD à l’autre, la qualité en demeure acceptable, mais l’on reprochera à cette platine son manque de performance certain pour ce qui est de la définition. Les DVD diffusés en ressortent certes grandis (encore que), mais les résultats sont loins d’égaler ceux des Sony NS76H ou NS78H par exemple. Trop douce, l’image n’est pas ‘creusée’, mais plutôt lissée de manière parfois désagréable par un circuit qui s’acquitte de sa tâche sans excès. Finesse (qualité essentielle lors du procédé d'upscale ) et piqué ne sont guère de mise sur certains titres difficiles.
De remarquables performances en Haute Définition La platine se montre très naturellement bien plus à son avantage sur le terrain de la HD, et délivre des performances qualifiables d’exceptionnelles. Diffusée en 720p ou 1080p, l’image obtenue se montre très fidèle à la source, et le lecteur parvient à en extraire chaque détail avec un beau sens de l’acuité. Les images se montrent piquées et vivantes, chaleureuses et définies. Les aplats parfois constatés sur une Playstation 3 sont ici aux abonnés absents, et le drive vidéo de ce BDP-1500 se montre en tout points convaincant. La densité des images issues de « Ne Le Dis à Personne » ou encore « Casino Royale » (des pressages Blu Ray de référence) n’est plus à démontrer. La platine fouille la matrice avec vivacité et ardeur, épouse les flux de la décompression, et ne propose jamais de ralentissements ou autres ‘judders’ imputables à la partie décodage. A l’aise sur tous les terrains, ce BDP-1500 étonne par son traitement vidéo, principalement lorsque l’on considère son prix. Il n’a en effet rien à envier à des modèles plus onéreux, et propose une section vidéo détonante et d’une rare efficacité. De plus, on notera également une absence de ‘personnalisation constructeur’ (des images typées, comme ce fut le cas sur certains lecteurs DVD de chez Sony), mais une fidélité à la source, à l’aise sur des compressions de type VC-1, MPEG-2 ou encore AVC. Au final, difficile de faire la fine bouche devant un spectacle qui récupère tout son sens de spectaculaire. Le rendu vidéo est optimal, les images fines et piquées, et profitent d’une superbe densité sur les plus beaux pressages. Le couple drive-décodage HD se montre à son avantage, et délivre les performances escomptées avec une aisance presque déconcertante. Les possesseurs de la platine BDP-1400 se rassureront de savoir que les résultats sont en tout points identiques.
CONCLUSION
Le géant Sud-Coréen propose sans nuls doutes l'une des platines les plus accessibles du marché, mais également des plus performantes. Certes, des mises à jour son nécessaires mais rendront cet appareil innovant et astucieux pleinement compatible avec toutes les fonctionnalités de l'univers du Blu-Ray. Avec son décodage HD affuté et perforant et ses fonctionnalités annexes (lecture de photos JPG, mode de lecture AVCHD, MP3, upscale DVD…), il s’agit sans conteste de l’une des plus belles offres du moment. Annoncée à 349 Euros et finalement disponible aux alentours de 249 Euros, elle ne devrait guère prendre du temps avant de s’affirmer comme un choix de taille. Polyvalente et apte sur tous les terrains, elle bénéficie d’innovations et d’améliorations conséquentes (rapidité de la navigation, temps de chargement optimisés…), sans compter que le constructeur nous a très récemment révélé son souhait de la rendre DIVX-ready dans le semaines à venir au travers d’une mise à jour majeure.
Compatibilité
|
||
© 2006 - www.DTS-phile.com. Tous les logos et diagrammes qui apparaissent sur ce site sont la propriété unique et exclusive des marques / sociétés citées. Leur présence sur ce site n'est qu'illustrative, et n'est soumise à aucune forme de contrat. Pour toute donnée supplémentaire sur DTS, merci de consulter le site officiel: www.dtsonline.com |