DVD DE DEMO DTS N°7

 

 

 

 

Chaque année, DTS nous gratifie d'une photographie, d'une radiographie en quelque sorte du meilleur des efforts réalisés par les ingénieurs du son et les sound designers. Compilés sur un disque qu'il est extrêmement difficile de dénicher, ces quelques extraits peuvent aisément être considérés comme la quintessence de la production audio de l'année en cours, et ce en dépit de quelques inévitables réserves sur la sélection effectuée (mais pourquoi donc avoir opté pour The Bourne Identity alors que l'on avait sous la main Blade II (ses scènes de caves absolument incroyables) ou encore The Last Castle (son soufflage d'hélicoptère dément), Le Seigneur des Anneaux (son troll diabolique), Monsters Inc ou Lilo et Stitch et leurs très basses fréquences absolument remarquables...??). Quoi qu'il en soit, nous avons souhaité vous proposer ici une critique purement technique de ce DVD de démonstration.

 

DTS célèbre à la même occasion ses dix années de bons et loyaux services et d'existence au sein de l'industrie du cinéma. C'est la raison pour laquelle ce disque de démo est bien plus chargé qu'à l'accoutumé, avec quatre morceaux supplémentaires dont trois audio des plus convaincants (avec une belle réserve pour Insane Clown Posse... tout de même). Un d'entre eux est même encodé en DTS 96/24. Le disque présente un menu animé un peu plus fin que ceux proposés d'ordinaire, et propose une option "lecture en boucle" de ses 10 extraits. Autre nouveauté: le logo DTS présent en bas de cadre pour chaque extrait n'est plus limité à la partie droite, mais se trouve aussi sur la gauche... comme en témoignent nos screenshots. Tous les extraits présentés sont encodés dans un 16/9 anamorphique de toute beauté, sauf pour les extraits musicaux (4/3) et Chronos (4/3), qui respecte son format IMAX originel.

 

10 Extraits DTS Plein Débit (1509.75 Kbps) DTS ES 6.1 MATRIX et DISCRETE
Produit par Lorr Kramer Assemblé à SUNSET DIGITAL Authoring: Advanced Media Post
Project Manager: Sabrina Caldero DTS DVD 6506022200 16/9 Anamorphique  -  4/3 Plein écran

 


 

 

MINORITY REPORT (DTS ES Matrix)

 

L'extrait proposé ici n'est pas des plus démonstratifs... mais réserve une certaine quantité d'éclairages sonores de tout premier ordre, à commencer, bien entendu, par le sound design des armes soniques. Ces dernières rugissent dans le subwoofer et déployant des ondes de très basses fréquences qui débordent volontiers dans l'infra-grave. Pour ceux qui ne l'ont jamais écouté, ces trois coups de feu acoustique ont de quoi surprendre pour peu que le caisson soit correctement positionné et parfaitement réglé (coupure, fréquence etc....). N'hésitez pas à faire grimper le volume de quelques décibels à ce moment là). Le reste est à l'avenant, avec une mise en avant particulièrement palpable du design sonore des oeuvres récentes de Spielberg: essentiellement localisés à l'avant, les événements sonores se déploient sur une bande frontale des plus dynamique et se voient relayées par les voies arrières de l'installation qui dissipent une forme d'efficacité purement scénique, sans effet de remplissage outrancier. De magnifiques impacts lors de la bataille avec un environnement sonore grouillant par moments. Le travail de Gary Rydstrom n'est certes pas admirable ici, l'extrait étant complètement dévolu à ce qu'il représente et met en espace sur le plan acoustique, mais présente tout de même quelques éclairs furtifs d'efficacité absolue, comme les différentes ambiances ou bruitages de ces bars robotisés géants ou les plonk des pièces qu'ils fixent sur le châssis de la future voiture avec une vigueur colossale que ce passage retranscrit avec force et dynamique. Peu vraiment de différence réelle avec le son DTS du DVD édité par Dreamworks... en revanche. Encodé en DTS ES 6.1 Matrix.

 

 

 

 

 

 

THE BOURNE IDENTITY:

 

 

Une gigantesque réserve sur cet extrait... qui n'a rien à faire ici, selon nous... Certes, cette scène de poursuite dans les rues parisiennes utilise tous les canaux à bon escient (parfois trop sur les arrières) et propose un degré dans la fluidité acoustique des plus séduisants qui rend ces passages de véhicules d'avant en arrière et de droite à gauche parfaitement matérialisables et concrètement "réels", mais en revanche, l'étoffe, la dimension, la texture, trop flasques et plutôt décharnés lui font cruellement défaut. Tout semble plaqué et plat... Inutile de préciser que ce passage est très certainement le moins démonstratif. Les véhicules conservent cependant une belle présence, les voies arrières ouvrent parfois considérablement (de forts beaux tests pour tester l'homogénéité de vos voies, du point de vue des panoramiques) l'espace sonore, comme lors du soufflage de la porte de la cabine téléphonique ou de la poursuite sur le périph'. Manque ou déficit notable de basses fréquences qui elles sont bel et bien présentes (façon de parler) sur la piste Dolby Surround 2.0... Un extrait finalement peu éloquent quant aux capacités dynamiques du codage DTS, et qui n'arrive pas à la cheville d'un Taxi par exemple... Cependant, l'encodage image est absolument incroyable de précision. Il devrait, à lui seul, retenir votre attention.

 

 

 

 

 

 

BEHIND ENEMY LINES

 

Nous avions déjà parlé de ce film exceptionnel (au DVD parfait, l'un des meilleurs encodage DTS que la Fox ait réalisé, la plus belle surprise DTS zone 1 de l'année passée, sans doute) et l'extrait proposé ici, le chapitre 16 du DVD, est non seulement parfait, mais possède en plus une dimension particulière: c'est Une incarnation. Incarnation des potentialités du codage DTS, incarnation parfaite de ce que peut être un extrait de démonstration, et incarnation d'une épiphanie home-cinéma (pour reprendre des termes cher à James Joyce), d'un de ces moments absolus de plaisir audio-visuels. Cet extrait vaut par sa virulence quand aux explosions mais aussi et surtout pour sa reproduction des silences, pesants, particulièrement éloquents. Toutes les voies, au début de l'extrait diffusent, paradoxalement, une image acoustique voire sonique du silence, un silence pénétré de ci de là par quelques rires d'enfants qui semblent surgire d'outre tombe. Montez le son, fort, très fort pendant environ 1 minute trente, puis abaissez le, mais vraiment, j'insiste, vraiment, lors de l'arrivé de la seconde voiture sans quoi... vous seriez forcé de déménager. En effet suite au silence que le codage DTS retranscrit à la perfection et aux quelques effets multi-voies tournoyants diffusés avec fluidité et vigueur, c'est  à un véritable coup d'éclat acoustique que vous serez convié: au montage image quasi-surréel, graphique et cinétique, la bande-son propose u contrepoint d'une efficacité diabolique et d'une intégrité qui forcent l'admiration: un soldat met pied sur une mine... son corps est propulsé par le souffle de l'explosion (filmé à très très haute vitesse pour un ralenti anthologique qui a fait la une de tous les journaux américains l'année dernière lors de la sortie du film) tandis que le malheureux tire, par réflexe sans doute, une salve de balles qui vont se perdre dans vos voies surround avec, là aussi, un effet de ralenti audio des plus réussi. Retour à la normale avec une explosion assez puissante, puis déclenchement de toutes les mines au sol, avant leur explosions, à droite et à gauche de l'installation, dans un feu d'artifice sonique indescriptible au centre duquel le héros tente de survivre en effectuant une course au milieu de la poussière et des débris. En fin de parcours, la voie frontale gauche diffuse une chute de débris d'une grande précision avant que ne se réinstalle, pour une courte dure, le silence originel.

 

La précision est grandiose, l'impact colossal (même si le caisson n'est pas tant mis que ça à contribution, ce qui n'est finalement pas plus mal, une alternative à U-571), l'efficacité intra-scénique anthologique, la localisation et le placement des unité sonores (une barre de fer qui s'écroule, le sable qui gicle littéralement, les déclencheurs des mines qui s'actionnent) au cœur même de l'événement sonique sont exemplaires... Le réalisateur du film, dans le commentaire audio qu'il donne sur le DVD commercial édité par la Fox avoue lui-même adorer l'ensemble de cette séquence. pour une bande-son mixée dans l'urgence en quelques jours (jusqu'à trois heures du matin, tous les jours, avoue le réalisateur dans ce même commentaire audio), le moins que l'on puisse dire est que le résultat est réellement fabuleux. A chaque explosion à l'avant (alternativement droite gauche) correspond un rappel, un écho extensif sur le canal arrière opposé. D'un point de vue artistique, on a droit ici à plusieurs tendances: l'arrivée des soldats est ponctuée par une lourde musique rythmée très très banale tandis que le mixage s'affine à mesure que ne progresse la situation. Vous noterez, tout de même, un caractère plutôt rêche du son (qui ne possède pas la profondeur vérice de la prise de son française et du mixage à la française) mais dans ce cas bien précis, c'est loin d'être un défaut, bien au contraire. Cela fait partie intégrante du design sonore du film. Ce type de son se retrouve d'ailleurs sur le DVD d'un bout  à l'autre. Cet extrait de démo, présenté ici, se démarque plutôt de la même présentation sur le DVD commercial de la Fox: on gagne un poil de clarté, mais on bénéficie d'un pouvoir d'analyse et de recouvrement nettement supérieur (on passe aussi d'un débit audio réduit à un plein-débit fort bienvenu), ainsi que d'une dynamique rehaussée et détourée par de belle valeurs soniques. Cette expérience, courte, d'un épisode situé derrière les ligne ennemies fait éclater les qualités intrinsèques du codage DTS: conservation de la dynamique sur tous les canaux, égalité des flux en distribution immédiate, recouvrement spatial, intégrité du signal, faculté d'éblouissement sonore inouïe, "coffre" supplémentaire. Une "bourrinade" bien pensée et finalement réaliste en quelque sorte, encodée un ou deux dB plus haut que sur le DVD (à l'oreille) qui laissera des traces.

 

 

 

 

 

 

FANTASIA 2000

 

 

Nous n'avons jamais été des grands fan du mixage de ce Fantasia 2000. L'orchestre (symphonique) est très bien enregistrée, c'est le moins que l'on puisse dire, mais l'ensemble ne semble pas proposer la qualité maximale que l'on peut atteindre avec le codage DTS. Exigence, quand tu nous tiens! Ici, présenté en Plein Débit, on découvre de micro informations musicales supplémentaires qui se déploient lors des déplacements de la fée nature. Les arrières soutiennent plus qu'elles n'étayent ou agrandissent la salle d'écoute mais qu'importe  qui compte ici c'est l'assise, la stabilité des masses sonores, et la faculté à créer un sentiment musical. Tout ceci, selon nous, manque encore de délié, mais ce passage ne manquera pas d'impressionner par les sensations artistiques qu'il dégage, véritables fusions entre des visuels immensément beaux et une partie sonore ample, généreuse à défaut de réellement vous submerger. Le DTS retranscrit évidemment mieux les inflexions musicales et dégage une sensation de clarté supplémentaire. En Plein Débit, ici, on gagne en dynamique immédiate, en netteté spatiale et en intégrité musicale. Plus large, plus gros, plus fort, plus massif. Indéniablement. Le DVD étant sorti il y a deux ans ou plus déjà, on imagine que les labos DTS ont du vouloir inclure certains passages de ce magnifique film d'animation sur leur DVD de démo depuis pas mal de temps... sans en avoir l'occasion par faute de place, de droits ou de qualité. Ce souhait est maintenant exaucé! Bel encodage image, mais quelques petits pixels se pointent sur les mouvements rapides... ce n'est pas un report numérique à la Pixar...

 

 

 

 

THE FAST AND THE FURIOUS

 

Encodé très haut en terme de décibels, ce passage, le plus long de ce DVD de démo avec ses (+) 6 minutes propose quant à lui une expérience de la violence acoustique. Agressif, âpre, bien calé quant à sa réponse en fréquence, le passage (l'attaque du camion dans le désert) propose une dynamique énorme et distribue ses informations sur tous les canaux avec équité, force et rage. Fluidité presque extrême, vitesse de l'évocation sonore, effets multi-voies à gogo... les amateurs de mixages efficaces, bourrins (et finalement assez banal...) seront à la fête. Ce passage ne vaut pas tant pour sa virulence et sa précision multicanale, mais plutôt pour les constituants, les éléments sonores constitutifs qui le font exister. Le codage DTS y transmet une sorte de fluidité qui fait cohabiter des fréquences plutôt hautes (les voitures etc...), des médiums et des basses fréquences sur un plan d'évocation. Sans jamais se mélanger les pinceaux, au point que chacun est immédiatement audible. D'où cette sensation de largeur sur ce passage sacrément chargé en informations. Certes, le Dolby Digital opère de la même façon, mais sans respecter l'intégrité presque physique des sons, et sur des passages chargés, rien ne s'émarge réellement, rien ne brille de mille feux. En DTS Plein Débit ici, et encodé sans doute un poil plus haut que sur le DVD de Universal, la piste son délivre un message d'une très grande précision, rehaussé par des moments éclatants (les balles du fusil à pompe traversant la portière et sortant de l'espace sonore par les voies arrières... le crash de la voiture et ses basses superbes, lourdes, déliées, tandis qu'à l'arrière, des effets aérodynamiques de vents et débris, très courts, se déploient... ) et un choc acoustique permanent. Ca frappe fort, très fort, c'en est presque fatiguant à plein régime. Par moments, tous les canaux exercent une pression exceptionnelle et diffusent un message parfaitement holographique. Pour un film d'action comme celui-ci, c'est u poil! La texture sonore très travaillée met cependant en évidence un caractère rêche, froid, sec du son qui, psychologiquement, constituent une réserve que nous nous sentons obligé de mentionner ici... A côté, certains passages du Pacte des Loups passent pour de la Hi-Fi pure. Mais ceci n'empêche en rien d'apprécier ce passage ébouriffant qui fera hurler vos arrières et frémir toutes les autres voies de l'installation. Très bonne démonstration pour épater la galerie, qui met bien en évidence les caractéristiques d'un mixage moderne, furibond, rapide, vif, saisissant, "à l'américaine".

 

 

 

CHRONOS

 

Un extrait inédit d'un titre IMAX qui commence à dater. La première apparition également du tout nouveau codage DTS 96/24 (taux de transfert de données: 2024 Kbps environ). Les amplis équipés reproduiront un son en 96 Khz et sous 24 Bit. Les décodeurs DTS traditionnels hériteront de cette profondeur de signal de 24 Bit, mais perdront les 96 Khz pour du 48 Khz, traditionnel là aussi pour du DTS sur DVD. C'est cette dernière version que nous avons pu tester. Le gain ne semblera pas immédiat pour tout le monde, mais l'homogénéité semble très sensiblement renforcée sur ce passage calme, comme en sourdine. La musique occupe l'ensemble des voies mais la cohésion semble avoir grimpé d'un bon cran, de même que la largeur de l'ensemble. Un renfort technique semble être là, comme un tasseau interne qui solidifierait le son. Convaincant, mais trop court... Un passage incitant à la méditation (nuages, cathédrales, châteaux... défilent sous nos yeux à diverses vitesses), et où la bande-son, limpide et cristalline, creuse une dimension supplémentaire à l'émotion. A noter qu'aucun DVD de ce titre IMAX ne possède de piste DTS. Il s'agit donc d'une exclusivité.

 

 

 

ERIC CLAPTON: Only the Broken Hearted

 

Une captation live empreinte d'énormément de subtilité. L'extrait proposé est certes court, mais il met en lumière un design des plus intéressant: il s'applique à capter plutôt qu'à reproduire, même s'il le fait particulièrement bien. Ainsi, toute l'acoustique du Royal Albert hall est retranscrite avant d'être reproduite: les notes de guitare s'envolent dans l'espace sonore et remplissent le vide d'une onde musicale sublimée par le mode multicanale. Plutôt discret, celui-ci réplique l'espace circulaire de la célèbre salle de concert de Londres. Voie centrale cristalline, justesse harmonique et parfaite perception spatiale. Une captation live sincèrement intéressante, voire surprenante dans sa ténuité. Dense, enlevé, et délicat comme de la soie, ce passage sait aussi conserver d'excellentes valeurs dynamiques.

 

 

 

INSANE CLOWN POSSE: Juggalo Homies (DTS ES Discrete)

 

Au contraire de Clapton, cet extrait (clip vidéo complet) est agressif, violent et âpre dans ses intentions et sa mise en scène sonore. Les paroles rap déboulent, la scène sonore se met en branle: sur le refrains, tous les canaux répercutent les voix et soutiennent l'arrière-plan musical avec force et conviction. En DTS ES, ce type de mixage est des plus convaincants, surtout lorsque l'on compare au DD 2.0, incapable de quoi que ce soit. Ce déferlement de décibels, le codage DTS le respecte à merveille, jusque dans ses moindres micro-informations. Il ne constitue pas l'extrait le plus convaincant de ce disque pour autant, et d'ailleurs, ce même extrait semble de meilleure qualité sur le DVD-Audio homonyme édité par DTS Entertainment. Il intéressera les amateurs et propose une variations par rapport aux autres extraits présents sur ce DVD de démo.

 

 

 

SHEILA NICHOLLS: Faith (DTS ES Discrete)

 

Sans aucun doute l'un des extraits les plus mémorables de cette petite compilation. Une chanson pop, un clip agréable à regarder mais très mal encodé et une piste DTS ES au mixage aérien, enlevé et surtout très ample. La voix de la chanteuse est calée au centre, et tous les canaux annexes délivrent le reste des informations musicales. Son caractère 'pyramidale', par empilement des éléments sonores et des nappes musicales va comme un gant au codage DTS qui est à même d'en retranscrire les diverses tonalités et informations micro-musicales sans perte, ou très peu, et avec une énergie débordante, notamment dans les basses fréquences. Large et aéré, ce mixage est un petit cas d'école pour les mixeurs: il mise tout sur la cohérence spatiale de laquelle la chanson trouve son envol symphonique et artistique. Elle respire

 et s'ouvre avec un sens confondant de l'espace. Loin de disséminer les nappes sonores dans un espace restreints, ce mixage repose aussi sur une structuration intelligente car intelligible de toute la scène sonore. Tandis que se déroulent les paroles à l'avant, des détails musicaux significatifs sont déployés sur l'arrière, comme une écho, une ritournelle que s'offre le multicanal. Les points cardinaux de l'installation se complètent mutuellement, l'un ne pouvant se passer de l'autre. De cette complémentarité découle l'équilibre multicanal de même que la singularité du mixage. Agréable à écouter car reposant sur une réponse en fréquence qui testera vos enceintes (les trous sonores sautent aux oreilles... sur des enceintes non adaptées) et grâce à une dynamique en phase totale avec le contenu pop-rock de la chanson, tout dans cet extrait respire finalement le naturel multicanal. On pourrait tenter d'imaginer une autre scène sonore, un autre design pour cette chanson... mais rien de bien convaincant ne vient alors à l'esprit. Voici un mixage ad hoc, qui unie contenu musical et mise en scène spatiale. Il est on ne peut plus convaincant dans son intelligibilité et a diversité, et trouve naturellement sa place sur ce disque de démo.

 

 

 

DTS logo: The Digital Experience

 

Le traditionnel logo DTS. Encodage et rendu traditionnels aux autres DVDs.

 

 

 

 

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FIN DE LA PREMIÈRE PARTIE


To be continued...

 

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